LeTTrE à Ma MuSe

quelques mots faisant la fêtes entre eux, rien de plus rien de moins.

posté le 22-10-2007 à 19:16:40

Pigeons malgré eux.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Du bord de ma fenêtre, je regarde les pigeons,

Tous trottiner ensembles comme des cons.

Ils sont sur les toits, et regardent les passants,

Aller et venir dans les rues bruyamment.

 

Fixant de leur regard stupide la rue et ses pavés,

Ils sont considérés comme, les animaux de la saleté.

                                                                Car porteurs de maladies, et constamment en train de bouffer,

Les moindres déchets de la ville, les miettes de la société.

Mais pourtant…

REF :

Un pigeon nommé bactérie m’avait avoué, qu’il en avait vraiment assez,

D’avoir faim et de puer, aux détours d’une ville si polluée.

Il en a vraiment assez, que les pigeons soient toujours considérés,

Comme les puce de la société.

 

Alors bactérie va créer une association,

Elle s’appellera « SOS pigeons à l’unisson ».

Il sauvera tous ces petits êtres si fragiles,

Et bientôt tous les pigeons seront unis dans les villes.

 

Ils mettront en place le boycott des miettes de pain.

Et seront prêts à se donner un coup de main,

Pour lever l’embargo sur la défécation coulante,

Destinée aux belles chevelures des passantes.

 

                                                              Bon bien sûr cela prendra forcement du temps,

Qu’ils mettent en place des arbres à proximité des écoles,

Afin que bactérie et ses amis deviennent arboricole.

 

Autrefois refoulés pour leur innocence et leur saleté,

Ils sont maintenant redoutés et respectés.

L’oiseau des villes est devenu au fil des années,

Le symbole de la pollution de l’homme, et de sa passivité.

 

REF

 

Mais bactérie n’est jamais arrivé,

A faire rentrer dans la fierté des gens la vérité.

Celle qui fait que si villes et pollution n’existait pas,

La nation des pigeons ne serait pas si sale que ça.

 


 

 

 

 

   


 


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posté le 12-10-2007 à 16:58:08

Blande


Il n’y a pas très longtemps de ça je t’ai rencontré ma muse,

Tu étais belle et renfermée comme la solitude qui m’accuse.

Celle qui me fait dire qu’enfin je t’ai rencontré sur mon chemin,

Une fille digne d’être le soleil de mes matins.


Mais hélas tu es bien trop loin de moi et ton cœur de m’appartient pas,

Je voudrais que tu restes avec moi mais tu ne peux pas et moi je ne dois pas,

Obscurcir mes idées, rendre mon jugement aveuglé,

Par quelconque sentiments que j’aurais à ton sujet.


Mais, peste tu as élu place dans mon cœur et je peux pas,

Tomber dans un certain malheur en voulant te faire partir de là.

Les mots ne seraient que trop légers pour exprimer mon ressenti,

Si je devais te dire que tu es dans ma tête jours et nuits.


Mais cela a déjà été fait et comme d’un accord nous avons acquiescé

Nous nous sommes dit que jamais l’on oublierait,

La discussion ou je t’avais tout avoué.

Mais des non-dits se sont installés ravageant tout dans mes pensées.


Il y a certains jours où je regrette tant d’avoir croisé ton regard,

Qui ma fait par conséquent, tombé dans le noir.

Je ne sais si c’est du noir ou bien du blanc,

Tout ce que je parviens à penser, c’est que ça l’est quasiment.


Un torrent d’amour et de frustration qui se meut dans mes veines,

Lorsque regardant tes photos je m’éprends de toi ma belle.

Il y a quelque chose qui me fait croire que cela n’est pas à sens unique,

Quelque chose qui me terre dans un espoir que je me fabrique.


Peut-être qu’un de ces jours, tu partageras ma vie,

Proche de moi jusque dans mes soucis.

Pour l’instant tu n’es qu’une idylle souhaitée,

Qui atrophie mon âme après tout ces jours à y penser.


A elle, et comment je pourrais m’en débarrasser.

A toi, et comment je pourrais voir tes sentiments mis de coté.

Pour savoir si tu m’as aimé, si tu m’aimes ou si tu m’aimeras un jour,

Pour savoir si je dois t’abandonner ou continuer à croire en ton amour.


 


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posté le 12-10-2007 à 16:48:32

Expaventare

« Quand il n’y aura plus de place en enfer, ils reviendrons sur terre »


            Les journaux dessinaient des boucles dans un vent muet. Les voitures étaient arrêtées comme espérant reprendre vie et sortir de cette photo statique. La rue était vide de vie, pourtant les feux rouges continuaient à fonctionner. Nombre de cadavres d’hommes gisant à terre étaient les témoins d’un silence lourd et le ciel menaçant, le reflet d’une rue stressante. Les hommes aux terrasses dormaient sur leur siège, l’assiette encore fumante. Comme si le temps s’était arrêté et que la mathématique de la vie s’était retirée dans le néant. Une brume épaisse stagnait entre les buldings, tels des nuages venant s’échouer dans les rues d’une ville endormie. Malgré cela le soleil continuait à envoyer ses témoins pour réchauffer cette scène d’apocalypse. Faisant d’irréels arcs-en-ciel dans le ventre des blancs humides. Plusieurs accidents avaient eu lieu. Des gens étaient déchiquetés, saignant encore d’un sang épais et chaud. Voitures renversées et incendies parsemaient les allées de la ville. Les murs des immeubles, souillés de fluides corporels semblaient être les remparts d’une gigantesque cage à viande. Ainsi à leurs fenêtres, des bras pendaient faisant couler le rouge à quelque mètre de mes yeux horrifiés. Etant quasiment les seuls bruits dérangeant ce silence jonché de questions, qui me laissèrent perplexe sur la situation dans laquelle je me trouvai. L’angoisse et la terreur furent mes seules amies sur le moment.


Tout à coup j’entendis un cri inhumain non loin de moi dans la rue. Me retournant je vis la chose la plus incroyable, et effroyable à la fois. Sorte de foulards de chairs décomposées flottaient dans l’air en ma direction, à travers le brouillard dense. Lumineux dans leurs mouvements circulaires, sorte de serpents de lambeaux de peaux. Sur l’instant je ne vis pas derrière et même tout autour de moi ce qui se produisit. Les multitudes de serpents sanglants aux cris stridents passèrent devant mes yeux humides et en même temps, les hommes presque uns par uns, se levèrent difficilement, gémissants, leurs yeux injectés de sang. Centaines d’hommes armés de leurs dents putrides. L’armé de la mort constituait tout le panorama, faisant un bruis de fond lourd et puissant. Les renvoyés de Yahvé et du cornu, en ce jour d’été, marchaient dans les rues. Je vis chose horrible, des hommes et des femmes tombaient des fenêtres, s’explosant sur le macadam dans un bruit liquide. Les estropiés m’avaient senti moi, le seul à vivre vraiment, laissant derrière eux, têtes, jambes, boyaux où autres tronçons de corps. Que faire alors, sinon se laisser emporter pas la déraison du moment. Ou peut-être se débattre et essayer de s’enfuir pour pouvoir survivre à la mort se rapprochant peu à peu. Après la peur et l’incompréhension, la folie me guettait, tapie dans mon moi intérieur, près à bondir dans mes gestes comme le ferait un incompris. Je n’étais qu’un homme se frayant un chemin à travers l’odeur du souffre et la violence des résiliés de l’au-delà. Les corps atroces et cannibales, trop nombreux, engendraient ma fatigue, faisant que mes mouvements ralentissaient jusqu’à la léthargie totale mais pourtant si consciente.

Une douleur poignante me traversa le corps me paralysant, les bouches difformes et pestilentielles des cadavres embrassaient mon être, plantant le peu de dents qui leur restait dans ma chair, faisant gicler des jets de fluide visqueux sur leurs faces hideuses. Qu’allais-je devenir ? L’un d’entre eux ? Peut-être, mais je ne me sentais déjà plus vivre, je pleurais et mes larmes se mélangeaient à mon sang crânien et à mes hurlements ultimes. Je me sentais basculer, sous l’emprise d’une force qui m’était inconnue. Un dernier souffle s’extirpa de ma gorge lacérée, les hommes amochés arrêtèrent leur festin et se relevèrent lentement. Mes yeux s’ouvrirent, mon corps se souleva. Je me mis à marcher par saccades en quête d’une destinée floue, armé d’un instinct glacial, allant dans la même direction que tous mes frères. Ma conscience n’était alors plus qu’un mégot de cigarette se consumant dans une parcelle de moi-même, je n’étais tout simplement plus…

 


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posté le 18-09-2007 à 13:57:37

CLoDoS



Bonsoir les gens, vous n'auriez pas une p'tite pièce
A dépanner vous les gens qui allez les dimanche à le messe.
Pour faire style que vous êtes emplis de compassion,
Envers les pauvres comme moi, les vagabons.


Je lui tend la main, il s'arrête devant moi,
Il me dit qu'il n'a rien mais peut-être qu'il repassera.
Ce sont des foutaises et je le sais très bien,
Mais c'est pas en le mettant mal à l'aise que je nourrirai mon chien.


Ils vont et ils viennent, me regardant différement,
Celon la rue où je traine, où je brasse du vent.
Emplis de pitié, ou bien souvent équeurés,
De voir une loque comme moi subsister sur les pavés.


Une loque peut-être ma   is je n'ai pas choisi de l'être et c'est vrai,
Je ne suis pas du tout productif aux yeux de cette société.
Mais paradoxalement c'est elle qui a fait,
Ce que je suis maintenant au fil des années.

ref:
Donnez moi des sous svp, faut bien que je me nourrisse.
Donnez moi des sous svp, faut bien que je m'habille.
C'est pas parce que je vous tend la main que je suis forçement un moin que rien
C'est juste que je vous tend la main pour pas mourrir de froid ou de faim.


Je suis une tache aux yeux de tout le monde,
Mais personne n'imagine à quel point ma détresse est profonde.
Combien c'est dur de devoir vous demander,
Une petite pièce à longueur de journée.



Qu'il pleuve, qu'il neige, qu'il vente je suis toujours là,
Et je le jure sur mon foix sirosé, la misère ne m'aura pas.
Car l'un de ces jour oui je changerai,
et redeviendrai à vos yeux un homme civilisé.


Mais pour ça il faudrait que l'on arrête d'utiliser,
Le détergent "Sarko", pour taches de pauvreté.
Car ce produit s'est vachement bien démocratisé,
Et la populasse moyenne l'utilise pour pouvoir penser.


Produit au principe actif de S.R.S,
Avec ça nous n'avons plus honte d'aller à la messe.
Il nous suffit juste de composer le 17 vite fait,
Pour que le nouveau petit monsieur propre karshérise nos pavés.



















 
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yuna  le 19-09-2007 à 19:56:06  #   (site)

Rien a dire! t'as tout dit!
Un texte émouvant, une réalité dur...
j'ai juste envi de te dire... MERCI!

 
 
posté le 18-09-2007 à 13:20:19

VENDU!!!







Il est une langue parlée par peu de monde mais,
Appréciée par beaucoup pour sa diversité
Composée, jouée, chantée, elle reflète notre état d’esprit,
Et nous transporte dans les plus beaux voyages de notre vie.





Grâce à elle nous fuyons la réalité
Nous quittons ce pourquoi nous sommes fait
Un état d’éveil fragile nous plongeant dans les abîmes des songes ;
Rêves instantanément vrais de par l’inconscience de ce monde.





Auto thérapie individuelle soignant notre blues, médicament des incompréhensions passagères
Mais des fois mal parlé elle amène a la débilité légère
Souvent voulant faire passer un message, un avis, une opinion
Maintenant elle se fait porter garante pour les millions de bénéfices de cons





Un bien fait devenu, de par leur faute, pouvoir vendable ;
Ils en ont fait consciemment un produit valable,
Aux yeux de nos jeunes léchant la société de consommation,
En les éduquant à devenir souvent de jolie petits moutons.


 


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posté le 18-09-2007 à 13:19:32

UNE MATINEE DE PRINTEMPS













Une petite fleur était la, ouverte aux rayon du soleil
Belle en cette matinée de printemps, elle s’épanouissait doucement.
Une petite pile était la aussi, a coté de la petite fleur couleur ciel
Lentement mais sûrement, elle tuait la petite fleur des champs.





Non loin de la dans une rivière, un petit poisson frétillait dans l’eau trouble
Joyeux de vivre, mais affamé, il déambulait a l’affût du moindre vers a manger
Il s’approcha d’un vieux pneu, il chercha longtemps, rien de comestible
Plus aucun vers a se mettre sous la dent et comme les vers le petit poisson serait empoisonné





Pendant ce temps un petit lapin se promenait gaiement dans la foret, il s’aretta soudain
Une symphonie d’oiseaux en tout genre le fit danser sur la rosé d’une touffe d’herbe des prés
Il repris sa route et gambada de plus belle, non loin deux prédateurs le guettaient en vain
Revenu dans la foret, une balle dans l’aine le stoppa net devant un cimetière d’arbres coupés





A coté du lapin dont l’agonie chassait le silence de la foret, un vieux châtaigner.
Depuis des année il  avait grandit dans cette foret dans la paix la sérénité et le bonheur
De toute ses branche de toutes ses feuilles il souffrait de voir en face de lui les arbres qu’il connaissait
Aujourd’hui tués ces arbres était ses amis de même sève même souche  et maintenant son malheur


                                                Le futur

 


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posté le 18-09-2007 à 13:18:31

ULTIME BONHEUR









Un matin d’été, marie se promenait,
Dans une ville calme a ce moment de la journée.
Chantant gaiement, sifflotant joliment son bonheur ;
Elle était heureuse, elle oubliait ses soucis, craintes et peurs.





Marie était heureuse car elle allait être maman ;
Enceinte de quelque mois elle y pensait tout le temps.
De plus, avec son ami elle venait d’acheter une belle maison,
Loin de la ville, loin du bruit, perdue au milieu des champs.





Tout allait pour le mieux jusqu’à maintenant ;
Aucun obstacle sur son chemin pour le moment.
Mais quand on arrive à frôler le bonheur d’aussi près,
Bien souvent il s’enfuit, nous montrant sa face cachée.





Marie elle, l’avait apprit à ses dé pants ce matin ;
Qui aurait cru que s’arrêtait là son destin.
En effet, traversant un feu rouge, la vie la quitta inopinément,
Sa joie, ses espérances et son amour étaient à coté d’elle dans une flaque de sang.




 


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posté le 18-09-2007 à 13:17:29

SOUVENIRS








Tu me regardes, je me perds dans le lagon de tes yeux,
Je m’y nois, je m’y brûle, en moi le feu.
Un croissant de lune s’esquisse sur tes lèvres tièdes,
Délicatesse sensuelle d’une étoile dont les rayons me blessent.





En dépit du temps qui passe, un amour d’une intensité soudaine,
Evolue en plaie douloureuse de consistance spirituelle.
Pourtant je ne succombe pas devant toi,
L’énergie de l’espoir le plus fort en moi me survivra.





Après la vie, la mort nous guette dans l’ombre ;
Après la nuit, le jour se lève sur la beauté du monde ;
Après l’hiver, le printemps nous berce tous les jours ;
Plusieurs saisons, plusieurs jours, qu’une vie mais plusieurs amours.





Je ne me souviens pas de tout les jours passés,
Mais les sentiments que j’ai pour toi, je n’oublierais jamais.
La faculté d’écrire ce que je pense me réconforte,
Sans elle, mes doigts de mes lèvres aux tiennes témoigneraient l’amour que je te Porte.


 


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posté le 18-09-2007 à 13:16:06

SOLITUDE POETIQUE






Des journées entières, assis sur son siège.
Un vieil homme fatigué de ses années passées,
Ecrivait sur un vieux calepin usé,
Les mots, les phrases, les idées qui lui venaient.


Seul au monde, il noircissait ses pages,
Seul moyen pour lui de tuer l’ennui.
Le moyen aussi de poursuivre sa vie,
Pour qu’un jour il sorte de l’oubli.


Ecrivain sans succès, désespéré par l’age.
Il restait seul à témoigner de son sort,
Par un geste, des coups de trait forts.
Pour toute sa vie, mouvement répété jusqu’à la mort.


Quelques fois des larmes discrètes s’écoulaient sur son visage,
Sans nul doute provoqué par une tristesse de passage.
Mais pour suspendre cette émotion qui le rongeait,
Il devait écrire ses dernières pensées pour sauvegarder sa fierté.



 


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posté le 18-09-2007 à 13:15:08

Sensibilité coupable







Quand on a en face de nous une personne,
Dont le charme, le charisme et la subtilité nous frôlent.
Quand cette personne fait jaillir un sentiment insolent,
Dans notre corps, notre âme, notre cœur devient soudain brûlant.


Hélas entre cette personne et nous, un chemin.
Impraticable, semé d’obstacles avec tout au bout un gardien.
Surnommé timidité, à cause de lui l’on ose se dévoiler.
Après avoir vaincu la première approche de l’amitié, nous sommes égarés.


De plus cette personne, nous ne la connaissons pas bien,
Rencontré quelque fois, goûts nous avons en commun.
Ce sont des croyances qui rendent notre cœur malade,
Ivre d’amour, l’espoir nous tue de son regard fade.


Pourquoi fade me vous, pourquoi ce mot cru ?
Et bien de nos pensées s’écoulent deux idées farfelues.
Le sentiment que l’on a encré en nous nous illumine,
Cependant le doute, le non-dit, le secret nous rend fragiles.


Cela est dur d’être un ami quand on voudrai être plus que ça.
Plus est-ce un rêve ou un avenir, nous ne savons pas.
C’est difficile de cacher ce pourquoi notre cœur se déchire,
Ces quelques lignes donneraient peut-être à cette fille un sourire.

 


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