

Il voudrait prendre sa force. Le vider de toute son énergie. Le détruire afin qu'il n'en reste pratiquement rien. Ainsi il pourrait savourer sa victoire. Imaginer qu'enfin il n'aurait plus à se battre pour acquérir son grade.
Fait de petites choses toutes ordinaires,Il est une partie intégrante de nous meme.Un mot gentil, une attention particuliaire,Souvent présent quand on nous aime.Denrée rare,pensée légère, or du coeur,Se faisant dicret dans nos moindres victoires.Il est le venin d'une existence sans valeurs,Pourtant le conserver est illusoire.Bien souvent prenant les habits d'un traitre,Nous montrant sa propre face cachée.Celle du desarois dont nous ne sommes point maitre,Dès qu'inconsciemment nous voulont l'approcher.Le meilleur moyen que cela n'arrive pas,Est de ne pas le chercher à tort ou a raison.Car si nous le faisons nous ne vivrons point nox choix.De ce fait le malheur sur notre chemin nous trouverons.
D'un autre monde elles viennent,Sans l'être qu'elles aiment.Ayant pour quête le répit,Dans leurs souvenirs maudits.Le temps qui fut si clement ne l'est plus desormais.Et en un court instant d'un air désemparé,Elles sont las de leur existences.Le vivant comme une sentence.Ne voulant abdiquer face a leur destiné,Elles ressassent leur bonheur du passé.N'en trouvant point devant elles,Leur coeur lentement se morcèle.Privée de tout ce qui faisait leur être,

Dans les limbes d’une existence de marbre,
Elle ne possède plus son temps.