Il n’y a pas très longtemps de ça je t’ai rencontré ma muse,
Tu étais belle et renfermée comme la solitude qui m’accuse.
Celle qui me fait dire qu’enfin je t’ai rencontré sur mon chemin,
Une fille digne d’être le soleil de mes matins.
Mais hélas tu es bien trop loin de moi et ton cœur de m’appartient pas,
Je voudrais que tu restes avec moi mais tu ne peux pas et moi je ne dois pas,
Obscurcir mes idées, rendre mon jugement aveuglé,
Par quelconque sentiments que j’aurais à ton sujet.
Mais, peste tu as élu place dans mon cœur et je peux pas,
Tomber dans un certain malheur en voulant te faire partir de là.
Les mots ne seraient que trop légers pour exprimer mon ressenti,
Si je devais te dire que tu es dans ma tête jours et nuits.
Mais cela a déjà été fait et comme d’un accord nous avons acquiescé
Nous nous sommes dit que jamais l’on oublierait,
La discussion ou je t’avais tout avoué.
Mais des non-dits se sont installés ravageant tout dans mes pensées.
Il y a certains jours où je regrette tant d’avoir croisé ton regard,
Qui ma fait par conséquent, tombé dans le noir.
Je ne sais si c’est du noir ou bien du blanc,
Tout ce que je parviens à penser, c’est que ça l’est quasiment.
Un torrent d’amour et de frustration qui se meut dans mes veines,
Lorsque regardant tes photos je m’éprends de toi ma belle.
Il y a quelque chose qui me fait croire que cela n’est pas à sens unique,
Quelque chose qui me terre dans un espoir que je me fabrique.
Peut-être qu’un de ces jours, tu partageras ma vie,
Proche de moi jusque dans mes soucis.
Pour l’instant tu n’es qu’une idylle souhaitée,
Qui atrophie mon âme après tout ces jours à y penser.
A elle, et comment je pourrais m’en débarrasser.
A toi, et comment je pourrais voir tes sentiments mis de coté.
Pour savoir si tu m’as aimé, si tu m’aimes ou si tu m’aimeras un jour,
Pour savoir si je dois t’abandonner ou continuer à croire en ton amour.