Du bord de ma fenêtre, je regarde les pigeons,
Tous trottiner ensembles comme des cons.
Ils sont sur les toits, et regardent les passants,
Aller et venir dans les rues bruyamment.
Fixant de leur regard stupide la rue et ses pavés,
Ils sont considérés comme, les animaux de la saleté.
Car porteurs de maladies, et constamment en train de bouffer,
Les moindres déchets de la ville, les miettes de la société.
Mais pourtant…
REF :
Un pigeon nommé bactérie m’avait avoué, qu’il en avait vraiment assez,
D’avoir faim et de puer, aux détours d’une ville si polluée.
Il en a vraiment assez, que les pigeons soient toujours considérés,
Comme les puce de la société.
Alors bactérie va créer une association,
Elle s’appellera « SOS pigeons à l’unisson ».
Il sauvera tous ces petits êtres si fragiles,
Et bientôt tous les pigeons seront unis dans les villes.
Ils mettront en place le boycott des miettes de pain.
Et seront prêts à se donner un coup de main,
Pour lever l’embargo sur la défécation coulante,
Destinée aux belles chevelures des passantes.
Bon bien sûr cela prendra forcement du temps,
Qu’ils mettent en place des arbres à proximité des écoles,
Afin que bactérie et ses amis deviennent arboricole.
Autrefois refoulés pour leur innocence et leur saleté,
Ils sont maintenant redoutés et respectés.
L’oiseau des villes est devenu au fil des années,
Le symbole de la pollution de l’homme, et de sa passivité.
REF
Mais bactérie n’est jamais arrivé,
A faire rentrer dans la fierté des gens la vérité.
Celle qui fait que si villes et pollution n’existait pas,
La nation des pigeons ne serait pas si sale que ça.