LeTTrE à Ma MuSe

quelques mots faisant la fêtes entre eux, rien de plus rien de moins.

posté le 18-09-2007 à 13:14:21

REFLECTION SUR UN MONDE





Il est une personne invisible,
A nos yeux, pourtant très fragile et sensible.
Une femme reine des choses qui vivent,
Eperdument amoureuse de la prose et des rimes.


Cette dame nous la connaissons tous bien,
Même si son aspect nous paraît bien lointain.
Dans une phrase résumant la terre, son nom rime avec création.
Elle a créé ce pourquoi nous vivons nos ambitions.


Pourtant cette verte pers sa place sur terre, malheureusement,
Agacée, persécutée, détruite par mon enfant.
Nous sommes, je suis le père de Pollution l’adversaire,
Redoutable concurrente de la possession de la terre.



Mauvaise éducation, bonne alimentation cause de ce combat.
Nous finirons par notre faute d’ici-là,
Dans un monde fétide, royaume des choses putrides.
Alternant prise de conscience, guerres et destructions dans une forêt   vide.                                                                                                                                                                             
                                                                                        


Vide de toutes feuilles, animaux et autres merveilles, un silence lourd.
Je crois pour ma part que nous nous sommes rendu sourd.
Et pense aussi que nous n’aimerions pas subir la torture,
Que lentement mais sûrement notre enfant fait subir à dame nature.


 


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posté le 18-09-2007 à 13:13:01

Pâturages







Nous sommes des bêtes, des moutons,
Un gros troupeau qui ère dans d’immenses pâturages.
Limités à manger, boire, dormir nous marchons,
Nous suivons notre berger qui a de l’âge.



Laine identique, c’est la mode des moutons modernes,
De cette laine résulte un profit pastoral.
Berger enrichis de ses bêtes de par leur laine,
Il nous dépeusse, nous exploite, nous fait du mal.



Mais viendra un jour où le berger sera renversé,
Une révolte, un souffle ovin venant de moutons rebelles.
Moutons ne voulant se laisser abuser par l’autorité,
Munis de la jeunesse, la liberté leur donnera des ailes.



Ainsi éclairé de la vérité les moutons changeront,
Mais ce qui naît doit mourir nous dirons.
Un cycle continuera à recycler les montons changés,
De par son immortalité les moutons deviendront bergers.

 


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posté le 18-09-2007 à 13:12:17

PAS BIEN








Entre deux arbres, à l’ombre d’un châtaigner ;
Dans les champs, à l’herbe fraîchement coupée ;
Dans une rivière, dans l’eau les pieds mouillés ;
Une pensé s’étant de par le monde.





Dans ta chambre des premiers temps noircis ;
Sur ta chaise, devant les tableaux, la main engourdie ;
Roulement des images instantané à première vue ;
Flash conscient du passé qui revient, tu ne m’a pas crus.





L’étape passée, tu de demande où tu es ?
La limite franchie, la ligne finie, oui la vérité ;
Tu nies, à quoi bon hurler personne ici ne t’entend t’apitoyer ;
Regarde devant toi le film, résumé de tes années passées ;





Des années passées à faire ce pourquoi tu es ici à pleurer ;
« Tiens, ça c’est de la bonne, goûtes tu va triper » ;
« Mais pourquoi ? »Tu me demandes une réponse, la vie de parasite,
Qu’un jour un petit gars aura car il snifera le fruit de la conscience interdite.


 


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posté le 18-09-2007 à 13:10:37

Pacte d’été






Ils se promenaient main dans la main,
Pieds nus sur un sable mouillé souvent,
Par la mer qui les berçait délicatement ce matin,
De par le fracas de ses vagues s’écrasant.



Parlant de tout de rien, de ce joli matin,
De leur vacance d’été si ensoleillée.
Parlant de leur passé et d’un avenir incertain,
Se lançant des regards inquiets.



Il sentait sa mais serrer la sienne,
Témoignant sa peur de demain, pour lui
Le désir qu’elle ne pleure plus devint la haine,
Que dans ses yeux il n’avait pas vu un moment depuis.



La serrant dans ses bras plus fort que le vent soufflant.
Au creux de son torse il la sentit verser larmes tièdes et salées.
Profitant d’un coup de vent insolant, et dégageant
Ses longs cheveux de son oreille, il lui dit que pour toujours il l’aimerait.


 


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posté le 18-09-2007 à 13:09:27

MON ANGE







A toi que je ne connais pas,
Je voudrais un jour converser avec toi.
Mon ange je sais que tu es là,
Quelque part autour de moi.


Je voudrais pouvoir mes chaînes du temps,
Me libérer du respect que je dois avoir.
Bien souvent je te parle et je sais que tu m’entend,
Me dire quoi faire tu devrais le savoir.


Je me sens souvent perdu dans l’incompréhension.
La haine de mon prochain, qui n’y peut rien,
De mon inconscience, ses mauvaises opinions.
Je voudrais pouvoir tout quitter pour rejoindre les tiens ?


Ma vie est un labyrinthe dans lequel je souffre,
Non pas de ne pas trouver la sortie,
Mais de ne pas trouver quelqu’un qui m’écoute.
Quelqu’un comme toi qui es le fantôme de ma vie.




 


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posté le 18-09-2007 à 12:22:08

MA FAMILLE







Ils me sont chers au plus haut niveau de l’amour
Sans eux que ferais-je, sinon que de fautes redoutées.
Je les aime et ce, tout les jours.
Dans les moindres recoins de mon cœur saturé.


Si la vie n’a parfois aucun sens,
En pensant à eux, elle reprend toute sa joie.
Ils sont la main qui me relève d’une tristesse intense,
Quand par jours de larmes, je ne souris pas.


Faire une chose de ma vie pour vous,
Vous rendre ce que vous m’avez donné.
Vous aimer jusqu’à la fin de tout,
Et redonner à mes souvenirs de vous, toute leur beauté.


Vous prendre dans mes bras et vous dire,
Au creux d’une oreille en chuchotant,
Vous dire que vous êtes toute ma vie, le plaisir
De vous dire que je vous aime tellement.

 


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posté le 18-09-2007 à 12:20:53

LE TEMPS

LE TEMPS






Si je devais lui reconnaître une vertu, je dirais la patience,
La patience qu’il a pour alourdir nos chairs et nous donner conscience.
Pourrait-on l’appeler témoin de notre vie
Si en nous voyant quand nous naissons et mourrons il nous sourit





Depuis l’aube de notre connaissance il n’a cessé de nous tourmenter,
Il n’a cessé de faire naître en nous une crainte imagée.
Le symbole, inconscient mais présent, de nos pensées,
Du clicher de nous même affaiblis par les années.





La main crispée sur cette question revenant à chaque fois,
Pour et de par tout le monde le fait de pas savoir nous laisse sans voie :
Pourquoi lui nous connaît-il et la réciproque négative mais sage ;
Ces question, vous le savez son intarissables et le temps, lui, tourne les pages.





Nous n’y pouvons rien, il a été, il est et il sera pour toujours le coupable,
Des rides preuves du vécu de notre visage alourdit par l’age.
Il est un stéréotype dit bien et mal créé parce que nous sommes,
Et qui fait perdre aux yeux du temps la valeur de la vie d’un homme.



 


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posté le 18-09-2007 à 12:20:02

Le temps d’un regard.










Je me promenais dans les méandres d’un après-midi ensoleillé,
Les mains dans les poches et une cigarette sur mes lèvres gercées.
Marchant, le regard dans le vide et n’ayant point de pensés.
Des fois je relevais la tête et je regardais les gens marcher.




Je croisais bien des regards, autant furtifs qu’insistants,
Inexpressifs, joyeux ou même chargés de discordes ou plus inquiétants.
Le mien se posait d’une personne à l’autre rapidement,
Pour revenir sur le paysage m’entourant.




C’est alors que je me suis mis à fixer une femme pressée.
L’empoignant dans mes pensés, sur l’instant troublées,
Car l’envergure de sa magnificence venait de me percuter.
D’un pas dynamique elle m’est passée devant, nos regards croisés.




Je ne sais toujours pas pourquoi, mais j’ai freiné ma course effrénée,
Continuant de fixer sauvagement cette créature si douce si versée
Dans l’art d’être l’allégorie vivante du charme et de la beauté.
Elle en fit de même, se mit à me sourire et repartit de son coté.





 


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posté le 18-09-2007 à 12:19:24

Le jardin secret et le beau temps



 



Le regard, trop long ce transforme en prix de la volonté.
Une volonté persistante sur laquelle glisse mes sentiments.
Un effort est accomplit soudain ma main s’avance doucement.
Mes sentiments muets jusqu’à lors, se posent sur sa main, geste risqué.



La volonté s’estompe laissant derrière elle le retrait de ma main, la peur.
Ce geste engendre la chute de l’espoir dans les profondeurs.
Mes regret sont constant, l’espoir y tombe avec douleur.
La flamme d’une passion résistante le reprend de l’étang des pleurs.



La saison des question commence les gouttes des doute tombent,
En arrosant abondamment les arbres de mes pensée de verre.
Cette nature cérébrale ne peut donner ses fruit sans lumière,
Crée par un geste réciproque sans lui la pollution de l’esprit nous hante.



Heureusement les rayons de l’être aimé arrivent soudain disparaît la peur
Samain revient mienne, mon regard détourné jusqu’a lors,
Refait le trajet inverse et rencontre l’espoir revenu plus fort
Les fruit de la patience appelés réponses poussent pour laisser place aux fleurs du bonheur.
                                                                                                                                                    


 
 


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posté le 18-09-2007 à 12:17:50

Le chemin







Petit chemin, bordé de fleurs, ensoleillé de bonheur,
De tout son long appartenant a la nature du cœur.
Inutilisé par l’habitude depuis des années de solitude, une page
Damné par la déraison de quelques promeneurs de passage.




Ce chemin, jolie route, mène à la destination de magie
Des choses les plus belles par ces temps de pluie.
La montée est rude, bien que la vue soit du crépuscule,
La route est longue, la belle capitule.




Le peu de personne qui l’ont entamé,
On renoncé suite aux premières gelées.
De plus l’entrée de ce chemin paraît hostile,
En effet les ronces de la craintes repoussent les amours futiles.




Un refuge accueille les amis voulant en resté là,
Le reste du chemin est pourtant très joli, mais les gens n’y montent pas.
Juste après le chemin un pancarte veille, il y est écris à l’encre du destin,
« les préjugés tombent, le cœur s’ouvre pour un petit chemin bordé de romarin »


 


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