LeTTrE à Ma MuSe

quelques mots faisant la fêtes entre eux, rien de plus rien de moins.

posté le 18-09-2007 à 12:17:13

LA LUTTE DES ACHARNES



J’ai la gueule dans le pâté,
Les sourcils qui collent ;
Le cerveau pas bien irrigué,
Là j’ai vraiment pas de bol.



Un exet fait d’une soirée un enfer ;
L’incompréhension vire à l’hystérie.
Suractivité passagère où l’on ne sait plus quoi faire,
Tout autour de nous tourne, l’impression d’un grand huit.



Tout simplement fracas, c’est un ticket pour la paranoïa ;
Un tour de manège statique a la limite de l’hallucination.
On s’apitoie, on se dit que finalement on n’y arrivera pas
On se noie, on bade, au secours je suis dans le fond !



Le seuil dépassé, au diable les jugements,
Les regards inquisiteurs scrutent notre torpeur.
Quand on est cadavre, les regards livides c’est gerbant
J’ai froid, les main ankylosées je sombre dans la peur.



Non dit une voie dans mes pensées sommaires et fixées
« C’est le bad ça va passé dans un moment pour toi interminable.
Tu vois quand on cour trop vite on finit toujours par trébucher,
C’est pourquoi il vaut mieux marcher et tourner la page. »



 


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posté le 18-09-2007 à 12:15:06

LA FAUCHEUSE LE RENVERRA





Les hommes de noir vêtus restaient immobiles,
Dans un silence pesant dans leur cœur.
Leurs yeux sur l’instant si sensible,
Comme la tristesse de tous leurs mœurs.



La terre en ce jour accueillait le bois,
Gardant en son ventre la chair livide,
Sous un flot de paroles de l’homme de foi,
Qui semblait réconforter la mélancolie publique.



Nous étions réunis en ce jour si fade,
Pour pleurer toutes les larmes de notre corps.
Larmes s’écoulant dans la terre et le marbre,
Rejoignant lentement la dernière demeure du mort.



Une de ces larmes, aussi insignifiante soit-elle, devint lumière,
Traversant le bois et tombant sur ses lèvres bleuies lui redonnant la vie.
Mais hélas, une vie raccourcie car maintenant prisonnière,
De quelques mètres de terre sur du bois noircit.




 


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posté le 18-09-2007 à 12:14:11

L’IDEE D’ATTENDRE








Elle me regarde, je la contemple sans un mot ;
Je ne bouge pas, elle me dit que c’est beau ;
A-t-elle comprit le sens de mes phrases, le message ;
Je ne sais pas le rêve s’arrête là, je reste sage ;





Je me réveille avec un sentiment fort qui m’émeut,
Qui reste nuits et jours avec moi, silencieux ;
Je ne peux rien devant lui, contre sa violence,
Je ne le combas même pas, je subis sa puissance.





A cause de lui je ne pense qu’à elle tout le temps,
Son image me hante, non elle me caresse délicatement.
Je ferme les yeux et je vois qu’elle, souriante,
Elle fait partie d’une espérance, passion grandissante.





Que faire contre cela, comment agir, quelle direction prendre ?
Je suis perdu, amoureusement vaincu, je dois attendre,
Patienter est mon seul échappatoire, un problème pour moi,
Car cela me fait mal, mais paradoxalement encore plus quand je la vois.





 


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posté le 18-09-2007 à 12:13:32

HONTE OU CULPABILITE ?








Dis-moi tes peines, tes souffrances, évades-toi !
Sort-toi de là, confis-toi, et surtout ne me mens pas.
Lâches ! ou souffres en silence, tu le peux vraiment,
Donnes-moi les raison de ton jugement.





Parler pour mieux oublier, s’ouvrir,
Se confier pour mieux s’ouvrir,
Dire à quel point tu regrette, à quel point tu souffres,
Libères-toi de tes chaînes, sorts-toi du gouffre.





Des mots te viennent péniblement, ton esprit s’éveille,
Tu me regarde, j’acquiesce ;
Des moments te viennent d’un violant passé,
N’ai pas peur de ton futur maintenant gâché.





Avoues ce pourquoi tu es en face de moi,
En face de ta vie, tu vois,
Devant toi non le néant mais le répit,
Du courage il te faudra pour supporter ta future vie.

 


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posté le 18-09-2007 à 12:12:29

Gaya








« A quoi bon crier mère de la lune,
Ton destin s’achève, pourris par la thune.
Tes couleurs sont ternies , tu pue les odeurs de bombes,
Du vert de tes feuilles au gris du béton du monde.





Envaihie par des fourmis d’un autre genre,
Tu t’es laissée ronger par l’idée d’attendre.
Jadis terre mère nouriçiere aujourd’hui au abonnés absents,
Ton forfait millénaire se réduit inexorablement.





Tu n’a rien pu faire et je le sais très bien,
Bien que quelque fourmis comme moi on essayé en vain.
Heureusement ou malheureusement l’apogée de le empire s’estompe,
Laissant place à l’incompréhension et la honte.





Ou cela nous mène, toi, moi, nous n’en savons rien ;
Peu-être que tes bourreaux continuerons à dormir sous ton sein ;
Peu-être que tu finira par mourir desfraichie dans le noir ;
Tu n’aura pas de descendance et la mienne ne sera pas la pour le voir.



 


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posté le 18-09-2007 à 12:11:36

EVOLUTION EN REGRETION







Des fois moi, je regrette mes années enfantines,
De belles années ou l’on ne se souci guère,
De ce qui ce passe en dehors de notre famille,
Années d’inconscience, toujours flanqué dans les jupes de notre mère.



Nous vivons des moments exceptionnels et rares,
Durant le restant de notre vie de grand ;
Grand par la taille, mais pas d’esprit c’est notre tare,
Nous évoluons on nos régressons, nous nous mentons.



Enfant dont l’age se compte sur les main !
Profites tant que tu peux de tout ce que tu veux.
Evolues selon tes parent, pour un meilleur lendemain,
Ne devient pas comme nous, fait ce que tu peux.



De multiples choix bien évidemment se présenterons à toi,
Entraîné par le système, tu fera hélas comme nous,
Les mauvais tu prendras et tu comprendras,
Dans quelques années pourquoi l’avenir de tes enfant est flou.



Cela sera de pire en pire dans l’avenir,
Tu plaindra ta descendance, coupable ;
Tu t’apitoiera sur ton sort, c’est le fait de vieillir,
Tu sera pour toujours la partie d’un cycle d’une lignée d’influençables.




 


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posté le 18-09-2007 à 12:10:56

ENFER









Tout seul au milieu de tout le monde,
Egaré, debout parmi les hurlements, les restes d’hommes.
Pétrifié dans un cimetière dont les tombes sont de chair,
Dans ses yeux, une terreur devenant folie meurtrière.





Ne maîtrisant plus ses mouvements, l’homme se déchaîne,
De ses gestes, la mort se repent sans peine.
Les derniers souffles de vie perturbent une brume amère,
La bête danse faisant tomber les têtes sur un requiem de prières.





Tout à coup la chair de fend, le souffle se coupe,
Les genoux à terre, les mains dans la boue rouge.
Un filet de sang s’écoule d’un rictus horrifié,
Un compagnon, amie et frère, le voyant, hurle la douleur du damné.





Au même moment, saint Pierre accueille le trépassé a genoux,
Et lui dit exaspéré « encore un, mais d’ou venez-vous ? »
L’homme, les yeux emplis de détresse lui dit soudain,
« Oui, mon père, encore un et c’est de l’enfer dont je viens ! ».



 


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posté le 18-09-2007 à 12:10:08

Emotions







Un silence lourd s’installera sur tes lèvres,
Le temps s’arrêtera le temps d’un instant.
Une légère brise caressera tes cheveux doucement,
Tu fermeras les yeux scintillant de larmes tièdes.




Ta tête se penchera lentement,
 Comme alourdie par de poignantes pensés.
Des pensés surgissant de ton cœur blessé.
Tes mains se crisperons fortement.




La mélodie générée par la danse de mes doigts,
Te fera perdre le contrôle de tes émotions.
Les sons entremêlés te donneront de fortes sensations,
Et moi aussi je fermerais les yeux tout comme toi.




Bientôt ma chanson se terminera dans le regret.
Tes yeux se rouvriront nonchalamment,
Eblouissant les miens tels des diamants.
Son calme et son sourire me diront qu’elle a apprécié.


 


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posté le 18-09-2007 à 12:07:22

AVEC TOI










Si je n’étais qu’une chose,
Je dirais cette petite mer,
Inondant de larmes chaudes,
Les rivages tourmentés de tes paupières.



Si je n’étais qu’à ta personne,
Ton image, je serais chaque matin,
Le miroir que l’amour cautionne,
En face à face avec toi dans le reflet de l’eau de ton bain.



Si je n’étais qu’un sentiment,
Sorte d’obsession, je serais sans arrêt,
La cause et la conséquence de tes plus noirs tourments,
Je serais l’une de tes amoureuses pensées.



Je serais tout et rien à la fois,
Pour longtemps ou un moment instantané,
Mais je te bercerais doucement dans mes bras,
Tous ces jours de cœurs brisés.



 


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posté le 18-09-2007 à 12:06:33

-ATTIRANCE-










Tu peux me voir des fois, certains jours, fragile,
Je ne peux rester devant toi, je m’en vais, habile,
Ma consistance s’évanouie tout proche de toi, versatile,
D’une personne à l’autre, je m’installe d’un garçon à une fille.





Je suis rare et très recherché, mais imprenable,
Selon mes conquêtes, me repérer est impensable.
Je réagis et fonctionne comme le ferait un virus stratège.
Mais je ne suis pas seul, j’ai des semblables.





En effet quand je rencontre un de mes doubles,
Et que nos hôtes peuvent former un couple.
Alors nous fusionnons pour donner existence a une pensée de velours
Pensée recherchée, nos hôtes le nomment amour.





Mais nous avons deux redoutables ennemis, sur nos trois enfants, deux sont lâches
Les deus filles caché du destin, Jalousie la possessive et surtout Timidité l’hypocrite
Si elles , prennent le dessus sur notre troisième enfant, le seul a couler dans tes veines,
Alors lui même évolue, grandit, devient violent et meurs en tombant dans les profondeurs de la haine.  




 


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