I would like one day, see many birds in the sky,
Many birds going to a land whitout concrete and so quiet.
I would like feel the happyness in the children's heart,
Wherever I'll go I hope that I will live all of that.
So many times everybody has said to me,
Angels don't exist and you aren't free.
REF
Change my mind about this world and his cruelty,
Show at everyone that the life has his beauty.
I've done some travels and I've never seen the innocense,
Of a cute little girl laughing in the arms of his parents.
I would like that the smiles and the cheerfulness surge on us life,
Like if on us feeling's beach, the love was rife.
So many times everybody has said to me,
Don't dream my child, pragmatic you must be.
REF
Maybe one day all the humans on the earth will sing their dreams,
Maybe that they'll leave their pride and will asume that they've been.
The world will take back his colors in the children's eyes,
We don't miss the hope anymore and I won't wonder why...
So many times everybody has said to me,
There are many bad things that you'll never see.
REFx3
fin
Bonjoir tout le monde!
Où va la jeunesse de nos jours? Est-elle le résultat d'une mauvaise éducation parentale? Est-ce que le manque de valeurs se porte garant de la violence? Les enfants sont achetés par des multinationnales, car leurs parents, trop occupés pour les prendre en charge les vendent à qui mieux mieux. Aucune conscience du repect d'autrui, car l'altruisme est en voie d'instinction.
Le rassemblement de la masse dans des cages en béton est génératrice de la diminussion de dignité, car la violence s'y cache, et les enfants l'utilisent comme opignon. Mettons deux douzaines de rats dans une toute petite cage, le résultat en sera une tuerie. Au bout d'un temps conscéquent il n'en restera plus qu'un seul de vivant. C'est le même effet sur nous.
La culture n'est plus représentée que par quelques subsistants. Le culte des enfants rois, gatés jusqu'à les étouffer, est mis en place par le petit écran. Obligés de se débrouiller tous seuls, ils ont omit de se fixer des limites. Sachant tout sur tout et ne voulant nullement se remettre en questions, maintenant ils se complaisent dans leur monde, isolés des rêgles de vie banales. La question qui vient est plutôt humouristique, que ferons ces incultes dans quelques années de ça? Ne voulant pas apprendre la vie dans des contitions favorables à leur épanouissement social, ils seront confrontés à sa dûre réalité.
Ne sachant pas, pensant que tout leur est dû, qu'il faut suer pour arriver à vivre convenablement. Mais ce n'est pas tellement de leur faute. Elle se reporte non pas sur la progéniture mais plutôt sur les géniteurs. Diabolisant l'avenir, ils ont inconsciement condamné notre société à pourrir, se repliant sue elle-même. À quand le débat de la fin?
Certains auparavant l'avaient annonçé dans leurs chansons. Ils avaient prédit que nos jeunes ne tourneraient plus rond. Mais la réalité les a ratrappé. Maintenant ils écoutent de la musique leur montrant le chemin de la constatation. Un constat frois et implaccable chanté sur une aggressivité canine. La mode change et devient le mot d'ordre de ces jeunes en quettes de reconnaissance. La difference n'est plus, le jeune ressemble à ses semblables. Eux même étant les copies conformes de ce qu'ils voient à la télévision. L'avenir est pour eux comme atrophié, privé d'espoir, pourrissant dans leurs cages modernes.
Mais c'est vrai, pourquoi faire des études, construire notre vie comme l'on fait nos ailleux, quand, en revendant de la poudre blanche ou du tabac faisant rire, on arrive en un moi à gagnier ce qu'une famille modeste gagne en un an de salaire?
Surement car la facilité est convenable à leur yeux. Jadis quand la jeunesse n'était pas d'accord avec notre société, elle descendait revendiquer dans les rue. Maintenant elle fait de même mais pour bruler des voitures et cracher sur ses ainés. Que devient la morale que sans y penser l'éducation oublie?
Ma vision était floue. Diverses couleurs étaient dominées par un noir suspect. Mais je n'étais éblouie par aucunes sources de luminosité. Je sentis une fraîcheur poignante s'étalant le long de mon dos et de mes jambes, comme si je fûs allongé dans de la neige. En balayant de mes bras les contours de mon corps, je m'aperçu que je j'étais allongé sur de l'herbe folle et mouillé. La gorge nouée, je commençais à ressentir une certaine angoisse, je me mis en position assise, comme si je venais de sortir d'un mauvais rêve. Ma vision petit à petit recouvrée, je vis alors l'endroit où je me trouvais. Et je fûs stupéfais, étonné de voir que j'étais dans une forêt sombre, éclairée par une lune implacaple. Et de plus nu comme un vers. Des question bouchonnêrent les autoroutes de mon esprit. Que faisais-je ici? Pourquoi?
J'avais froid, et le silence reignant tout autours de moi dans la pénombre m'obsédait. J'hésitais à me lever pour me sortir de cette piece de théatre morbide. Je pris mon courage à deux mains, et entrepris la tache si redouté auparavant, de me dresser sur mes deux jambes. Mais à l'instant où je le fus, violemment et si soudainement une branche se rompit sous mon poid, déchirant le silence arboricole. Cela m'effraya au plus haut niveau, même si ce n'était rien de grave. Je regardais tout autour de moi, pour m'assurer de ma solitude. Rien ne me parût anormal mais paradoxalement, tout me semblait effrayant. La moidre fougère éclairée par la lune bougeant à peine, du fait de d'une légère brise parcourant la forêt, me donnait la chair de poule. J'entrepris ma marche funêbre dans cette forêt endormie difficilement.
Après quelques minutes j'arrivais sur une longue langue goudronnée. Elle refletait impecablement le teint de la lune, du fait de son humidité abondante. J'ai poursuivi sur cette route mais mes pieds me faisaient atrocement souffrir. J'aperçu à moi droite un grand portail rouillé et cadenassé d'une grosse chaîne. C'était l'entrée d'un cimetierre car en passsant devant je vis une rangé d'immondice. Mais ce qui m'interpella, fut une personne à l'interieur. Cette personne était vêtue d'une grande toge blanche resplandissante, priant en face d'un caveau de famille gigentesque. Je ne pris pas attention à ce moine noctambule. Mais à peine cette foire aux morts dépassée, j'entendis un bruit métalique puissant et stridant provenant du portail, comme si on l'avait refermé brutalement. Je me retournais sur le coup, le portail était dans l'état où je l'avais vu, toujours cadenassé mais au milieu de la route il y avait le moine de profil par rapport à moi, en face du portail. Je pris peur et m'enfuis en courant, il apparût juste devant moi à l'instant où j'allais partir, toujours dans la même position. Je ne bougeais pas comme paralysé. Sa tête, couverte de sa large capuche se tourna lentement vers moi. Horreur, il n'y avait rien sous la capuche, aucun visage, rien. Sur l'instant je m'évanouie.
La mer et calme, le soleil perce difficilement les nuages qui ce sont accumulés sur la côte, durant cette nuit si chaude. Un léger vent transgresse le silence d'un petit matin d'été, et les fleurs des jardinières peinent à trouver leur réconfort, alors que les chiens aboient, courant sur la plage, libérés de leur laisse. La mer est à l'apogée de sa réverance laissant derrière sa jupe d 'écume grisâtre, nombreuses piscines naturelles aux dimensions d'insectes ou bien aussi grandes que celles de nos jardins. De petites mares d'eau chaude reflétant le ciel lourd, composant un vrai parcours pour les enfants essayant tant bien que mal de rattraper leur chien, batifolant gaiment entre elles. Quelques personnes sont assises aux terrasses des café, scrutant l'horizon comme absorbés par sa dimension, comme pris d'une envie intérieure de rejoindre les terres se trouvant au bout. Leur proches en face leur parlent, ils les entendent mais ne les écoutent pas. Il prennent inconsciemment leur tasse de thé, de café, trempent doucement les lèvres dedans tout en continuant de fixer cette mer si lointaine. Au loin nous pouvont distinguer de petite tâches brunes disposées de ça et là sur la grandeur océanique. Ce sont des bateaux, des navires, des chalutiers, des vaisseaux flottant sur la houle. De la cote, ce ne sont que d'insignifiantes petites tâches brunes, mais en réalité ce sont des embarcations souvent tellement majestueuses, que l'on pourrait aisément les comparer à des immeubles couchés sur la mer.
La vie est douce ce matin. Pas de complication d'aucune sortes. Mais pourtant à l'extrémité de la plage, là où la terre essaye de reprendre pied sur la mer, faisant ressortir d'immenses blocs de rochers recouvert d'une algues verdâtre. Il y a chose anormale, un corps gît sans vie prisonnier de deux masse rocailleuse. Marqué de blessures sinueuses sur une peau blanche et flétrie. Disposé de façon que nous ne pouvons voir que son dos, ses jambes et ses bras étant coincés.
Ce corps c'est celui de damien. C'est un jeune garçon de seize ans. Hier soir avec ses copain il a fait un feu sur la plage et bien sûr à cette soirée il a consommé de l'alcool. Alors que la mer rugissait a quelques mètres d'eux, un copain à damien a eu soudain une idée. Pourquoi pas faire un bain de minuit tous ensembles? Mais le hic fut que damien n'avais hélas jamais appris à nager. Ses copains étaient tous allés à l'eau sauf lui, qui était resté à coté du feu. Ils se mirent à l'appeler, lui disant de venir les rejoindre. Damien leur expliqua son problème, mais ils s'en fichaient quelques peu. Ils voulaient juste qu'il vienne avec eux. Damien hésita un long moment mais voyant ses amis s'amuser, rigoler joyeusement, il se dit que après tout il pouvait quand même rejoindre les filles qui n'étaient pas allées bien loin puisqu'elles n'avaient l'eau qu'à hauteur des coudes. Ainsi fait, ses autres copains qui étaient allé dans la colère des vagues le rejoinîrent. Damien pris par l'excitation, demanda à un de ces copains de le prendre sur ses épaules pour l'emmener dans les vagues. Ils ne refusa en rien cette demande et au contraire fut tout à fait ravi de pouvoir s'amuser avec lui. Damien s'accrocha donc à lui et il partirent lentement en direction du fracas. Au bout d'un temps damien n'était plus tout à fait sûr de vouloir vivre cette expérience. Il en fit par à son ami mais celui-ci, peinant un peu à nager avec une charge aussi lourde, n'entendait rien de ses paroles, la tête à moitié du temps dans l'eau. Au début les vagues n'étaient pas très violentes, mais au fur et à mesure qu'ils avançaient dans la pénombre maritime, elle devenaient de plus en plus fortes. Au bout d'un moment plutôt long au goût de damien, son copain s'était arrêté de nager. Au début damien ne pris pas peur bien sûr, il regarda derrière lui, et vit que la cote se trouvait quand même assez loin de là ou il se trouvaient. Mais tout d'un coup il sentit ses appuis sur son copain passer sous l'eau. Son copain coula lentement et damien lâchât prise. Il cria son nom mais rien, il gesticula dans l'eau tiède essayant de plus ou moins garder une stabilité afin de pouvoir crier à ses amis de venir l'aider. Mais en vain, il commença à paniquer et à bouger de plus en plus vite. Cela dura quelques minutes, son copain ne lui avait pas fait une mauvaise blague, il s'était évanouie et avait couler à pic dans les profondeurs. Les autres étaient revenus sur la plage et se réchauffaient devant le feu.
La fatigue commença à apparaître dans le corps de damien qui s'enfonçait petit à petit dans l'eau. Soudain de l'eau rentra malencontreusement dans sa bouche et ses poumons, il toussa fortement et reprit une grande inspiration. Mais ce ne fut pas de l'air mais de l'eau qu'il respira abondamment. Il avait déjà coulé, assez pour ne plus rien y voir. Il ne bougea plus, fermant les yeux inconsciemment et s'évanouit à son tour.
Le lendemain des promeneur allaient retrouver damien dans des rochets, le corps coupé de partout et gonflé comme pas permit. Sans vie, sans plus aucun espoir, une joie de vivre ainsi rendu par la mer...
Le vent souffle dans une nuit éclairée par une lune livide. Le portail, agité par le vent grince faisant acte de sa voie métalique. Étant quasiment la seule chose gênant le silence dans le sommeil des tombes. D'ailleurs les fleurs prisonnières de leur vase semblent si muettes. Mais pourtant, les regardant, mon imagination les fait se mouvoir dans l'obscurité. Leurs couleurs ternies par la lune s'étandent sur le marbre glacé. La fleur discrète se meux dans son ombre chétive. Autours de moi les fleurs, belles au soleil, sont l'armée du silence gardant ce lieu de repos éternel.
Au fond de l'allée la fontaine coule, couleur sanguinolante, sans bruits aucun, dans un bassin opaque reflêtant la froideur de ces architectures funérères. Les arbres autours mêlent leur chant pour donner à cet instant, si solenel pour ma peur, l'ambiance d'outre tombe. De plus, mes pas dans le gravier composé de minuscule cailloux mêlé de mousses et de lickens, doivent sûrement perturber leur sommeil si léger.
Le bois renferme la chair bleuie par le temps et la quiétude, mais laisse les flots de paroles s'amonçeler aux oreilles puante d'êtres endormis. Et ce, le jour, mais la nuit le calme et l'humidité les mettent dans des états furibons. La colère équarlate leur fait ouvrir leurs yeux fondus dans leur noir exïgue. Le bois est gratté et la fiante s'abime d'échardes dans l'inconscience la plus pure d'un moment d'auto-torture. Au travers des rangés de blocs si lisses et sous la terre, j'entends les coups sur le bois, les gémissement difficiles. La terre et le marbre, lourds, sont deux remparts à l'igniominie, scellant les mort dans leur solitude nocturne. Mais je me dis que certaine de ces tombes ne sont pas si lourdes que je ne le pensait auparavant, car dépourvues de marbre ou de granit, la terre y est si légère. Le réceptacle s'ouvre et la terre s'affaisse. Monsieur le cadavre sort de sont imobilité car madame la mort semble si contradictoire sur l'instant. Une main aparaît de la terre remuée. Une main crispée noirçie par les mois d'isolation nauséabonde. Elle tire un corps macabre animé par une force obscure enemie du dieu si bon, mais pourtant sa jumelle. Des lambeaux de chair tombent dans l'herbe mouillée par la rosé nocturne, et l'homme oublié se lève, cherchant appuis pour ses os liés de demi-chair et de vieilles étoffe déchirées transperçant sa vie perdue de jadis.
Mes pas reculent et les corbeaux, cachés jusqu'alors s'élancent de la chorale des arbres et se posent sur les tombes vibrantes. Ma vision se floue et mes gestes se ralentissent, je suis absorbé par cette vison grotesque. Les squelettes de muscles dépeussés m'entourent me montrant du doigt. Semblant m'accuser de profanation moi le noctambule visiteur de tombes. Curieux mais si effrayé par ces être morbides. Je ferme les yeux et en les réouvrant le silence a repris ses droits d'empereur nocturne. Les tombes sont intactes et moi je me trouve dans délire anormal que je ne comprends point.
Il existe un monde inconnu de tous, caché dans les larmes chaudes s'écoulant de nos yeux immobiles, ne portant de nom que tristesse. Chose normale, tout les habitants de ce royaume mélancolique pleurent tout le temps. Si on en prennait un à part, il nous dirait que c'est leur façon d'être. Tout petit monde, où reignent les eaux douces et limpides d'une emprise délicate influant sur ses êtres.
Ce monde est irréel, anarchique et complètement triste. La folie des fois prend le dessus sur le moral fatigué de tout le monde. En ce royaume il ne figure aucune lois, si ce n'est qu'il faut tout le temps pleurer. Le roi est un vieux bonhomme moustachu vêtu de mille couleurs plus fades et pitoyables les unes que les autres. Toute la journée, qui ne dure que six minute en été et plus d'un quart d'heure en hiver,il ne fait que manger des chocolat aux liqueurs amères tout en se plaigniant de son sort.
Dans le ciel de ce royaume volent une playade d'anges aux ailes atrophiées, faisant tomber une pluie si fine que quand il fait beau derriere les barierres nuageuses, les rayons d'un soleil si lointain implosent de milles perles dorées en l'air. Cette pluie est d'un couleur rouge faiblarde, comme si le ciel saignait de sa triste couleur grisâtre. Les couchers de soleil en ce monde ont des teintes correspondant à nos vies. Elles peuvent changer du jour au lendemain. Mais les gens d'ici n'aiment pas les contempler, il se préfère à admirer, debouts et concentrés dans l'infiniment ridicule, les multitudes de tombes jonchant leur cité. Ces gens ne parlent pas et quand ils le font, ce n'est que pour se plaindre de la déraison du concept de leur torpeur si puissante. Cela peut arriver que des révoltes se produisent dans l'enceinte de ces gouttes salées, cela peut arriver que des elfes rouges et effarés s'illuminent d'un sourire interdit. Rassemblant armée de fantassins joyeux voulant être libre de rire, de chanter, de vivre et de porter en un mot vers les coeurs saturés, l'étreinte bienfaitrice d'un amour refusé jusqu'alors. Le roi redoutant cela les parqua, voilà nombre d'heures incroyables, en un lieu maudit de tous. Faisant peur aux mères et leurs enfants aux joues mouillées. Mais il existe un phénomène continuel de plus en plus redouté par sa sainteté.
Appelé bonheur il s'étant petit à petit dans les chaumières et les bars à pleurs. Mais bien heureusement restant invisible aus gens de la triste autorité.
Bientôt leur monde ne tombera plus, mais hélàs ce n'est point sûr. Cela ne tient qu'à nous de garder ces larmes, chauffées par la fournaise de nos coeurs elle finiront par s'évaporer dans les cieux d'un souvenir noble.
Cet avenir probable est gravé dans l'esprit des habitant larmoyeux, les elfes un jour seront libérés et heureux de ne plus devoir pleurer. Toute personne ayant pleuré devra migrer vers les terres éternelles du rois de gaité et alors elle ne serons desormait plus trites.
Le temps se raccourcira pour laisser place à ma haine. Pétillante, virvoltante, aussi belle et froide qu'une rose rouge, flanquée de piques, brulant ma conscience dans un silence sadique. Ce même silence se montrera au coins de mes lèvres séchées de fatigue, et s'éteindra dans des bruis confus. Le temps ainsi raccourci, obscures idées au plus loin de mon courage. L'effort marqué de larmes chatoyante sera le ciel ombragé des jours nouveaux, enfermé dans mon esprit bouturé, ma petite cage hideuse. Et moi, à mille lieux de penser ou même de croire que l'inconscience de mon opposition ne me ratrappe, j'essairai en vain de trouver les clefs du calme mental, pour tout remêtre en ordre dans ma tête. Assis, je serai las. Tout à coup, les poings serrés, les yeux innondés d'incompréhention, j'aurai surement du mal à trouver la sérénité dans quelconques de mes pensées saturé de vitesse. Peut-être même que le noir de ma vie finira par ronger les moindres de mes qualités, pour laisser place à l'animausité mélée de stupidité, sous un flot de critiques immatures, comme eux. Me noyant alors dans ma haine, mille pétales me chatouillant, j'aurais espéré qu'une main connue me retienne. Mais il n'en est rien, depuis que je me suis échoué dans le fond, j'ai appris à cultiver le second degret parmi moutons et dépravés. D'une rose l'avenir a montré de nombreux champs de merveilles. Devenues à leur insue d'admirables arbres fort, et beau en colère. Touffus, marquant le sombre dans une personnalité nouvelle. Le temps a reprit, pour se laisser le temps de redonner à l'honneur de mes pensées, fière et sûres d'elles, leur lettres de noblesse. Soupirs et divagations se mêlerons pour fusiller brutalement les pleurs, d'une mauvaise humeur ancienne, des seules armes les mettant en valeur, la joie, la béatitude. Personnalité convalescente ainsi illuminée, les roses arbres se mettrons alors à brûler, libérant dans leurs écrains de fumés, quelques cris assourdissants mettant un point d'honneur à ma vieille scene de ménage interieure. Comme sirène retantissant dans un grand port embrumé la nuit. La peur du retour aux problemes se fera sentir, car les arbres devenus poussière et cendres persistantes donnerons le mot, aux mesquins replantant des graines dans mon nouveau jardin fertile. Vue de haut, ma colère reprendra son attirante couleur rougeâtre, traduite par une armée de roses prettes à l'emplois. Innocentes et ravissantes commes jeunes fillettes jouflues. Chaqu'une d'elles gardant inconsciemment dans leur sève, une substance jusqu'à là inconnue de cette terre vierge. Les nouveaux champs seront contaminés par la vengeance, et alors, un combat se mettra en place pour le contrôle d'une humeur ravageante. Roses d'innocence, colère d'intempestivité.
Il n'est pas plus hypocrite que le culte de l'imparfaite croix. Monsieur le grand est bon, il nous a fait à son image, conscients d'être les termites de la terre. Calculateurs, avides, cupides et violants sont autant d'aspect que nous avont eu en la mangeant. Cette belle pomme biblique, fruit de la tentation dans le jardin des nues. Phénomène paradoxal, le père jardinier soit-disant les premiers jours de la construction des choses, planta cet arbre aux fruits viscieux. Les fesses dénudées, l'homme et sa compagne, l'adam dans l'evangile sucrée car le ventre vide. La perfidie, langue frétillante et cros assérés les poussa dans le conscient. Voulant que l'homme soit bon, pourquoi placer en son coeur la tentation? Question futile pour bon nombre de prieurs impudiques de leur foi, amoureux de l'architecture du vieux. Le premier homme et la première femme, après avoir tué l'animal bien portant pour se vêtir, découvrirent l'union de leur deux corps et la cote retirée, neuf moi plus tard, souffrit comme l'avait dit le calculateur accusateur en guise de punition. Première injustice en ce monde? La réponse est toute faite, de son amant d'infortune Eve eu deux enfant, l'un éleveur de bête et l'autre cultivateur de la terre. Ces deux fruits du pêché originel grandîrent jusqu'au jour où le sang de l'un coula sur le sol. Le vieux barbu leur demanda offrande, le premier donna le plus beau de ses agneaux et le deuxieme, sa plus belle récolte.L'omniscience divine savait-elle comme l'incidant de la pomme? La viande lui parût plus délectable que la chair végétale.
Est-ce pour cela que dans nos cantines nos enfants n'aiment pas les légumes? Peut-être. Le travail des champs fût frustré d'avoir versé gouttes de sueur, pour la joie d'un frère, qui sur le moment lui parût être le gagniant de l'amour de monsieur le grand. Ce fût, apparement la première compétition sur terre.
Des années plus tard le vieux vit que la terre, devenue zoo antique, était parsemée de sa propre image. Il décida de déchirer la page et de recommencer. Il choisit pour seul témoin de cette écatombe, un homme de trois lettre, Noé de bons sentiments. Il construisit un bateau qui après l'ultime inondation se logea sur la plus haute montagne de la terre, épargniant à cet autre barbu et ses animaux de compagnie, le sort d'être noyé. Mais pourquoi avoir la volonté de refaire un nouveau monde à partir de la plus infime erreur faite auparavant? De nos jours le barbu a des cornes qui lui ont poussé de partout sur son corp fait de haine et de mensonge, le sang lui coule entre ses dents, sortant d'une bouche béante et muette. Car en notre monde multitude d'hommes ne veulent plus de lui pour opignion. Alors que pour ceux qui croient encore en lui, notre père qui est au ciel se venge ou se désintéresse de nous tous car nous le détournons vonlontairement de nos vies ( écoles, politique, familles...). Pour d'autres il n'a aucune signification et s'il existe, il n'a qu'a rester où il est. Quelle est l'origine de ce dogme hypocrite? Les sectes de notre temps ne serait-elle pas nos religions contemporaines, sauf que nées dans la censure et la disgrace elle n'on pu convertir. Alors que ces religions là sont apparues à une époque où la misère, l'arrièrement technologique et le desespoir des hommes aux toges sales, ont fait que la crédulité s'est emprise d'eux, empêchant la critique religieuse, toujours de fait dans notre société actuelle.
Dodoche le 11-02-2009 à 10:29:16 #
=) Je l'aime trop ste chanson!! Bonne continuation mon peypey!!
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