Où va la jeunesse de nos jours? Est-elle le résultat d'une mauvaise éducation parentale? Est-ce que le manque de valeurs se porte garant de la violence? Les enfants sont achetés par des multinationnales, car leurs parents, trop occupés pour les prendre en charge les vendent à qui mieux mieux. Aucune conscience du repect d'autrui, car l'altruisme est en voie d'instinction.
Le rassemblement de la masse dans des cages en béton est génératrice de la diminussion de dignité, car la violence s'y cache, et les enfants l'utilisent comme opignon. Mettons deux douzaines de rats dans une toute petite cage, le résultat en sera une tuerie. Au bout d'un temps conscéquent il n'en restera plus qu'un seul de vivant. C'est le même effet sur nous.
La culture n'est plus représentée que par quelques subsistants. Le culte des enfants rois, gatés jusqu'à les étouffer, est mis en place par le petit écran. Obligés de se débrouiller tous seuls, ils ont omit de se fixer des limites. Sachant tout sur tout et ne voulant nullement se remettre en questions, maintenant ils se complaisent dans leur monde, isolés des rêgles de vie banales. La question qui vient est plutôt humouristique, que ferons ces incultes dans quelques années de ça? Ne voulant pas apprendre la vie dans des contitions favorables à leur épanouissement social, ils seront confrontés à sa dûre réalité.
Ne sachant pas, pensant que tout leur est dû, qu'il faut suer pour arriver à vivre convenablement. Mais ce n'est pas tellement de leur faute. Elle se reporte non pas sur la progéniture mais plutôt sur les géniteurs. Diabolisant l'avenir, ils ont inconsciement condamné notre société à pourrir, se repliant sue elle-même. À quand le débat de la fin?
Certains auparavant l'avaient annonçé dans leurs chansons. Ils avaient prédit que nos jeunes ne tourneraient plus rond. Mais la réalité les a ratrappé. Maintenant ils écoutent de la musique leur montrant le chemin de la constatation. Un constat frois et implaccable chanté sur une aggressivité canine. La mode change et devient le mot d'ordre de ces jeunes en quettes de reconnaissance. La difference n'est plus, le jeune ressemble à ses semblables. Eux même étant les copies conformes de ce qu'ils voient à la télévision. L'avenir est pour eux comme atrophié, privé d'espoir, pourrissant dans leurs cages modernes.
Mais c'est vrai, pourquoi faire des études, construire notre vie comme l'on fait nos ailleux, quand, en revendant de la poudre blanche ou du tabac faisant rire, on arrive en un moi à gagnier ce qu'une famille modeste gagne en un an de salaire?
Surement car la facilité est convenable à leur yeux. Jadis quand la jeunesse n'était pas d'accord avec notre société, elle descendait revendiquer dans les rue. Maintenant elle fait de même mais pour bruler des voitures et cracher sur ses ainés. Que devient la morale que sans y penser l'éducation oublie?