Pensée incertaines,
S'écoulant dans mes veines,
Au moment de friction.
Les bras de la souffrance nous prennent,
Les vents de la tristesse veillent,
Le mal plante ses graine.
La joie repartira d'elle même,
La seule à briser ses chaînes,
Requiem pour le bonheur de la haine.
La vie autant soit-elle si belle,
Des bouquets de fleurs amères,
Le rêve des années étenelles.
Le courant d'air de nos vie,
Ne soufflera plus dans nos coeurs égris,
Renfermant le souvenir de nos amis.
Depuis les oiseaux ne chantent plus,
Ils ont été déçu,
Par nos problemes non résolus.
Le noir entourera nos vie,
les eaux de la gaité serons taries,
Le pain de l'humanité aura pourrit.
Mais en nous la lumière des scieux,
Qui jadis guidait nos ailleux,
L'espoir renaît mais reste silencieux.
Nous poursuivrons notre chemin,
Certe dans un monde incertain,
En ne voyant jamais la fin.
La rosée sera retombé,
Sur le mystère de nos pensées,
Illuminant la beauté de nos rêves inavoués.
Les poussières du temps occasionnaires,
Recouvrirons nos histoires entières,
Dans une douceur de rêve.
Nous nous réveillerons avides,
De beautés morbides,
Dans une éternité maligne.
Le temps n'aura plus de significations,
Des souvenirs reviendront,
En proie à nos désilusions.
Nous chuterons lourdement,
Sur l'empleur de nos sentiments,
Ressentit depuis fort longtemps.